Prime Minister announces the appointment of the Chief of the Defence Staff
November 25, 2021
Ottawa, Ontario
The Prime Minister, Justin Trudeau, today announced that General Wayne Eyre has been appointed to the position of Chief of the Defence Staff.
General Eyre spent the majority of his career in command or deputy command positions. He was previously deployed to Cyprus, Croatia, and Bosnia, and served in Afghanistan twice – first in the Canadian Operational Mentor and Liaison Team in Kandahar, then as the Commanding General of NATO Training Mission. As Deputy Commander of United Nations Command Korea, he became the most senior Canadian officer ever permanently stationed in the Asia-Pacific region. Here at home, he commanded various disaster relief operations, including the military response to both the 2015 Saskatchewan wildfires and the 2016 Fort McMurray evacuation. He was appointed Commander of the Canadian Army in August 2019 and was promoted to the rank of General in August 2021.
As Chief of the Defence Staff, General Eyre will oversee the Canadian Armed Forces’ ongoing operations in Canada and around the world, including the emergency assistance currently being provided to individuals and communities impacted by the floods, landslides, and extreme weather conditions in British Columbia. He will also keep working toward the full implementation of our national defence policy, Strong, Secure, Engaged, to deliver the standard of service and care Canadians in uniform deserve, and the modernization of the North American Aerospace Defence Command (NORAD).
As Chief of the Defence Staff, General Eyre will continue the work to transform the culture of the Canadian Armed Forces to ensure zero tolerance for sexual misconduct and harassment while eliminating hateful conduct and systemic racism from the organization. Every person serving in our Armed Forces deserves a safe and respectful work environment, and eliminating all misconduct is the top priority of the Government of Canada and the Canadian Armed Forces.
Quotes
“Throughout his career, General Eyre has demonstrated dedicated service to his country and to Canadians. Over the past year, his lived experience has played a vital role in providing strong leadership, and helping Canadians across the country as they faced important and increasingly difficult challenges. General Eyre will continue working hard to build and oversee cultural change in the Canadian Armed Forces, and to gain trust and confidence of survivors of sexual misconduct. I know he will keep leading our Armed Forces with distinction and professionalism as they continue to protect Canadians and their values at home and abroad.”
“I sincerely congratulate General Wayne Eyre on his appointment as Chief of the Defence Staff. General Eyre and I will continue to work together to build a military where all members feel safe, protected, and respected, wherever they are, whatever they are doing. The Canadian Armed Forces form a crucial element of our nation’s fabric, and I look forward to working with General Eyre as we tackle the important issues facing Canada, now and in the future.”
Quick Facts
- General Eyre was appointed as Acting Chief of the Defence Staff in February 2021.
- The Chief of the Defence Staff is responsible for the command, control, and administration of the Canadian Armed Forces, as well as military strategy, plans, and requirements.
- The Chief of the Defence Staff is appointed by the Governor in Council, on the recommendation of the Prime Minister. The Governor in Council is the Governor General acting on the advice of Cabinet. As commander-in-chief of Canada, the Governor General plays a major role in recognizing the importance of Canada’s military at home and abroad.
Biographical Note
Associated Link
Le 25 novembre 2021
Ottawa (Ontario)
Le premier ministre Justin Trudeau a annoncé aujourd'hui que le général Wayne Eyre a été nommé au poste de chef d'état-major de la Défense.
Pendant la majeure partie de sa carrière, le général Eyre a occupé des postes de commandement ou de commandement adjoint. Il a été déployé à Chypre, en Croatie et en Bosnie. Il a également servi en Afghanistan à deux reprises, d'abord au sein de l’Équipe de liaison et de mentorat opérationnel du Canada à Kandahar, puis comme général commandant de la mission de formation de l’OTAN. En tant que commandant adjoint du Commandement des Nations Unies en Corée, il est devenu l'officier canadien le plus élevé en grade affecté en permanence dans la région de l'Asie-Pacifique. Ici, au pays, il a commandé diverses opérations de secours en cas de catastrophe, y compris l'intervention militaire lors des feux de forêt en Saskatchewan en 2015 et de l'évacuation de Fort McMurray en 2016. Il a été nommé commandant de l'Armée canadienne en août 2019 et a été promu au grade de général en août 2021.
À titre de chef d'état-major de la Défense, le général Eyre supervisera les opérations courantes des Forces armées canadiennes au Canada et à travers le monde, y compris l'aide d'urgence fournie actuellement aux personnes et aux communautés touchées par les inondations, les glissements de terrain et les conditions météorologiques extrêmes en Colombie-Britannique. Il poursuivra les efforts déployés pour assurer la mise en œuvre complète de notre politique de défense nationale, Protection, Sécurité, Engagement, afin d’offrir aux Canadiens en uniforme les services et les soins qu'ils méritent. Il veillera aussi à la modernisation du Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord (NORAD).
Également à ce titre, le général Eyre poursuivra les travaux visant à transformer la culture des Forces armées canadiennes afin d'assurer une tolérance zéro à l’égard de l'inconduite et du harcèlement sexuels et d'éliminer les comportements haineux et le racisme systémique au sein de l'organisation. Chaque membre de nos Forces armées mérite un environnement de travail sûr et respectueux, et l'élimination de toute inconduite est la priorité absolue du gouvernement du Canada et des Forces armées canadiennes.
Citations
« Tout au long de sa carrière, le général Eyre a servi son pays et les Canadiens avec dévouement. Au cours de la dernière année, grâce à son expérience vécue, il a su exercer un leadership solide et aider les Canadiens à travers le pays à relever des défis importants et de plus en plus difficiles. Le général Eyre continuera de travailler sans relâche pour instaurer un changement culturel au sein des Forces armées canadiennes, superviser les efforts déployés à cet égard et gagner la confiance des survivants d'inconduite sexuelle. Je sais qu'il continuera de diriger nos Forces armées avec distinction et professionnalisme alors qu'elles continuent de protéger les Canadiens et leurs valeurs au pays et à l'étranger. »
« Je tiens à adresser mes sincères félicitations au général Wayne Eyre pour sa nomination au poste de chef d'état-major de la Défense. Le général Eyre et moi continuerons de travailler ensemble pour offrir aux membres de l'Armée un environnement où ils se sentent protégés, respectés et en sécurité, peu importe où ils se trouvent et ce qu'ils font. Les Forces armées canadiennes constituent un élément crucial du tissu de notre nation, et je suis impatiente de travailler avec le général Eyre alors que nous nous attaquons aux enjeux importants auxquels le Canada est confronté, maintenant et à l'avenir. »
Faits saillants
- Le général Eyre a été nommé chef d'état-major de la Défense par intérim en février 2021.
- Le chef d’état-major de la Défense est responsable du commandement, du contrôle et de l’administration des Forces armées canadiennes ainsi que de la stratégie, des plans et des besoins militaires.
- Le chef d’état-major de la Défense est nommé par le gouverneur en conseil sur la recommandation du premier ministre. Le gouverneur en conseil est la gouverneure générale agissant sur avis conforme du Cabinet. À titre de commandant en chef du Canada, la gouverneure générale joue un rôle capital en reconnaissant l’importance des militaires canadiens, tant au pays qu’à l’étranger.
Note biographique
Lien connexe
November 25, 2021
Ottawa, Ontario
Yesterday, Prime Minister Justin Trudeau spoke with the High Representative of the African Union Commission for the Horn of Africa and former President of Nigeria, Olusegun Obasanjo.
Prime Minister Trudeau welcomed the High Representative’s efforts toward a peaceful resolution of the ongoing conflict in northern Ethiopia and expressed appreciation for his work to support dialogue among all parties. The Prime Minister underscored the importance of working toward a ceasefire and de-escalating tensions, and reaffirmed his strong support for Africa-led mediation efforts.
The Prime Minister reinforced Canada’s strong and ongoing commitment to supporting efforts to bring a peaceful resolution to the conflict. He emphasized the need to respect human rights and protect civilians. The Prime Minister also underscored the need to ensure unhindered access to and delivery of humanitarian assistance for those affected by the conflict.
Associated links
- Canada-Ethiopia Relations
- Statement by Minister of Foreign Affairs and Minister of International Development on release of investigation report on atrocities in the Tigray region in Ethiopia
- Canada withdraws Canadian embassy staff’s dependants and non-essential personnel from Ethiopia
- Joint Statement on release of OHCHR-EHRC joint investigation, November 6, 2021
Le 25 novembre 2021
Ottawa (Ontario)
Hier, le premier ministre Justin Trudeau s’est entretenu avec le haut représentant de la Commission de l’Union africaine pour la région de la Corne de l’Afrique et ancien président du Nigéria, Olusegun Obasanjo.
Le premier ministre Trudeau a accueilli favorablement les efforts que déploie le haut représentant Obasanjo pour trouver une solution pacifique au conflit dans le nord de l’Éthiopie et s’est dit reconnaissant du travail que le haut représentant réalise pour favoriser le dialogue entre toutes les parties. Le premier ministre a souligné l’importance d’instaurer un cessez-le-feu et d’atténuer les tensions, et réaffirmé son solide appui aux efforts de médiation menés par l'Afrique.
Le premier ministre a réitéré l’engagement ferme et soutenu du Canada à appuyer les efforts déployés pour trouver une solution pacifique au conflit. Il a souligné la nécessité de respecter les droits de la personne et de protéger les civils. Le premier ministre a également souligné la nécessité de livrer de l’aide humanitaire et de permettre aux personnes touchées par le conflit d’y avoir accès sans entraves.
Liens connexes
- Relations Canada-Éthiopie
- Déclaration de la ministre des Affaires étrangères et du ministre du Développement international sur le rapport d’enquête concernant les atrocités commises dans la région du Tigré en Éthiopie
- Le Canada retire de l’Éthiopie les personnes à charge des employés de l’ambassade canadienne ainsi que le personnel canadien non essentiel
- Déclaration commune sur la publication de l’enquête conjointe HCDH-CEDH, le 6 novembre 2021
November 25, 2021
Ottawa, Ontario
The Prime Minister, Justin Trudeau, today issued the following statement on the International Day for the Elimination of Violence against Women:
“Today, on the International Day for the Elimination of Violence against Women, we come together to condemn misogyny and sexism in all of their forms, and remain steadfast in our work to ending gender-based violence here in Canada and around the world. We also recognize the survivors, advocates, and community-based organizations, who work tirelessly every day to end discrimination and violence against women and girls, and support survivors.
“Living in fear of violence is a reality for too many Canadian women; more than four in 10 women in Canada have experienced some form of psychological, physical, or sexual violence from an intimate partner. Some women and girls continue to be at a higher risk of gender-based violence due to the discrimination and additional barriers they face because of their sexuality, race, disability, or social and economic situation. Since the outbreak of COVID-19, there have been escalated rates of gender-based violence around the world. The social and economic impact of the public health emergency has resulted in a shadow pandemic. It has underscored the systemic issues that lead to violence, as well as the gaps in support to protect and prevent those at risk from harm.
“The Government of Canada is taking action to prevent and address gender-based violence, including investing more than $600 million over five years in Budget 2021 to develop a National Action Plan to End Gender‑Based Violence, which builds on the federal Gender-Based Violence Strategy announced in 2017 and the National Strategy to Combat Human Trafficking launched in 2019. From this funding, the government has committed $30 million, over five years, to support crisis hotlines in their work to help those experiencing gender-based violence. Since the beginning of the pandemic, we have invested nearly $300 million to support shelters, sexual assault centres, and organizations assisting women and children experiencing violence. This funding will ensure that these organizations are able to provide the necessary services and support to those who need it most. Additionally, the 2020 Fall Economic Statement has committed $724.1 million to establish a comprehensive Violence Prevention Strategy to increase access to a continuum of culturally relevant supports for Indigenous women, children and LGBTQ2 people, including Two-Spirit, facing gender-based violence. This strategy includes the construction of new Indigenous-specific shelters and transitional housing across the country.
“Earlier this year, the 2021 Missing and Murdered Indigenous Women, Girls, and 2SLGBTQQIA+ People National Action Plan was launched, which outlines concrete steps needed to end this national tragedy. At the same time, the government launched the Federal Pathway in response to the National Inquiry into Missing and Murdered Indigenous Women and Girls and the federal component of the National Action Plan. The Federal Pathway provides a comprehensive roadmap to address the root causes of gender-based violence against Indigenous women, girls and LGBTQ2 people along four interconnected themes: culture, health and wellness, human safety and security, and justice. The government will continue to work alongside families and survivors, Indigenous governments and organizations, and provincial and territorial partners to implement this plan and bring about the transformative change needed to end violence against Indigenous women, girls, and LGBTQ2 people.
“Ending all forms of gender-based violence and harmful practices, especially for women and girls, in all their diversity, is also a priority for Canada’s international efforts. Centred around our Feminist International Assistance Policy, Canada’s international response to COVID-19 has prioritized responding to the increase in gender-based violence as a result of the pandemic, particularly through providing comprehensive services to survivors of violence and supporting the essential work of local organizations working on the frontlines. Canada is also working to prevent gender-based violence in fragile and conflict-affected states and believes that increasing the meaningful participation of women in conflict prevention, conflict resolution, and peacebuilding around the world is vital to sustainable peace. This work is done through our second National Action Plan on Women, Peace and Security, the Elsie Initiative for Women in Peace Operations, and the Feminist International Assistance Policy.
“Today, as we start the 16 Days of Activism against Gender-Based Violence, let us reflect on what everyone can do to address and to protect the rights and well-being of women, girls, and gender-diverse people to bring an end to gender-based violence in Canada and around the world. I encourage Canadians to participate in activities being held around this year’s theme, ‘16 and Beyond,’ and use the hashtag #16Days on social media. By speaking up against acts of gender-based violence, we can build a more inclusive, safer, and brighter future for everyone.”
Le 25 novembre 2021
Ottawa (Ontario)
Le premier ministre Justin Trudeau a fait aujourd'hui la déclaration suivante à l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l'égard des femmes :
« Aujourd'hui, en cette Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes, nous nous rassemblons afin de condamner la misogynie et le sexisme sous toutes leurs formes. Avec une détermination inébranlable, nous continuons d’agir pour mettre fin à la violence fondée sur le sexe ici, au Canada, et dans le monde. Nous saluons aussi les personnes survivantes, les défenseurs des droits des femmes et les organisations communautaires qui travaillent sans relâche tous les jours afin d'éliminer la discrimination et la violence à l'égard des femmes et des filles et de soutenir les survivantes.
« Vivre dans la peur est une réalité que trop de Canadiennes connaissent. Au Canada, plus de quatre femmes sur dix ont subi une forme quelconque de violence psychologique, physique ou sexuelle de la part d’un conjoint ou d’une conjointe. Certaines femmes et filles sont encore plus à risque que d’autres d’être victimes de violence fondée sur le sexe à cause de la discrimination et des obstacles supplémentaires auxquels elles se heurtent en raison de leur sexualité, de leur race, d’un handicap ou de leur situation sociale ou économique. Depuis le début de la COVID-19, on note une hausse du taux de violence fondée sur le sexe dans le monde. Les conséquences sociales et économiques des mesures d’urgence de la santé publique ont donné lieu à une “pandémie de l’ombre”. Elles ont mis en évidence les problèmes systémiques qui mènent à la violence ainsi que le manque de soutien en matière de prévention de la violence et de protection des personnes à risque.
« Le gouvernement du Canada agit en vue de prévenir et d’éliminer la violence fondée sur le sexe. Dans le Budget 2021, il a notamment investi plus de 600 millions de dollars sur cinq ans dans l’élaboration d’un Plan d’action national pour mettre fin à la violence fondée sur le sexe, qui donne suite à la Stratégie contre la violence fondée sur le sexe du gouvernement fédéral annoncée en 2017, et à la Stratégie nationale de lutte contre la traite des personnes lancée en 2019. De ces fonds, le gouvernement s’est engagé à investir 30 millions de dollars sur cinq ans pour appuyer les lignes d’aide téléphoniques qui apportent un soutien aux victimes de violence fondée sur le sexe. Depuis le début de la pandémie, nous avons investi près de 300 millions de dollars pour soutenir les refuges, les centres d’aide aux victimes d’agression sexuelle et les organisations qui viennent en aide aux femmes et aux enfants en situation de violence. Grâce à ce financement, ces organisations seront en mesure d’apporter les services et le soutien nécessaires aux personnes qui en ont le plus besoin. De plus, l’Énoncé économique de l’automne 2020 prévoyait un engagement de 724,1 millions de dollars pour la mise sur pied d’une stratégie globale de prévention de la violence afin d’améliorer l’accès à un continuum de mesures de soutien culturellement adaptées aux femmes, aux enfants et aux personnes LGBTQ2 autochtones, y compris les personnes bispirituelles, victimes de violence fondée sur le sexe. Cette stratégie prévoit la construction de nouveaux refuges et logements de transition destinés aux peuples autochtones à travers le pays.
« Plus tôt cette année, le Plan d’action national 2021 pour les femmes, les filles et les personnes 2ELGBTQQIA+ autochtones disparues et assassinées a été lancé. Il propose des mesures concrètes à adopter pour mettre fin à cette tragédie nationale. Au même moment, en réponse à l’enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées et au volet fédéral du Plan d’action national, le gouvernement a lancé la Voie fédérale. La Voie fédérale présente une feuille de route détaillée permettant d’aborder les causes profondes de la violence fondée sur le sexe visant les femmes, les filles et les personnes LGBTQ2 autochtones. Le plan s’articule autour de quatre thèmes interreliés : la culture, la santé et le mieux-être, la sûreté et la sécurité des personnes ainsi que la justice. Le gouvernement poursuivra son travail avec les familles et les survivants, les gouvernements et organisations autochtones et ses partenaires provinciaux et territoriaux pour assurer la mise en œuvre de ce plan et susciter les changements transformateurs nécessaires pour empêcher la violence visant les femmes, les filles et les personnes LGBTQ2 autochtones.
« L’élimination de toutes les formes de violence fondée sur le sexe et de pratiques néfastes, particulièrement celles visant les femmes et les filles dans toute leur diversité, est également une priorité du Canada dans le cadre de ses activités internationales. La réponse du Canada à la COVID-19 sur la scène mondiale est axée sur notre Politique d’aide internationale féministe. Ainsi, le Canada s’est donné comme tâche prioritaire de freiner l’augmentation de la violence fondée sur le sexe résultant de la pandémie. Il a notamment fourni des services complets aux personnes ayant survécu à la violence et appuyé le travail essentiel que les organisations locales accomplissent en première ligne. Le Canada travaille également à la prévention de la violence fondée sur le sexe dans les États fragiles ou touchés par un conflit. Il est d’avis qu’une augmentation de la participation concrète des femmes à la prévention et au règlement des conflits et à la consolidation de la paix dans le monde est essentielle à l’établissement d’une paix durable. Nous accomplissons ce travail dans le cadre de notre deuxième Plan national d’action du Canada consacré aux femmes, à la paix et à la sécurité, de l’Initiative Elsie pour la participation des femmes aux opérations de paix, et de la Politique d’aide internationale féministe du Canada.
« En ce jour qui marque le début des 16 jours d’activisme contre la violence fondée sur le sexe, pensons à ce que tout le monde peut faire pour aborder cette question et protéger les droits et le bien‑être des femmes, des filles et des personnes de diverses identités sexuelles. Réfléchissons aux moyens de mettre fin à la violence fondée sur le sexe au Canada et dans le monde. J’encourage les Canadiens à participer aux activités qui se tiendront sous le thème de cette année, “Au-delà des 16 jours”, et d’utiliser le mot‑clic #16Jours sur les médias sociaux. En dénonçant les actes de violence fondée sur le sexe, nous pouvons bâtir un avenir plus inclusif, sécuritaire et prometteur pour tout le monde. »